SHL-OMO

إِذْ عُرِضَ عَلَيْهِ بِٱلْعَشِىِّ ٱلصَّٰفِنَٰتُ ٱلْجِيَادُ﴿31﴾فَقَالَ إِنِّىٓ أَحْبَبْتُ حُبَّ ٱلْخَيْرِ عَن ذِكْرِ رَبِّى حَتَّىٰ تَوَارَتْ بِٱلْحِجَابِ﴿32﴾رُدُّوهَا عَلَىَّ فَطَفِقَ مَسْحًۢا بِٱلسُّوقِ وَٱلْأَعْنَاقِ﴿33﴾وَلَقَدْ فَتَنَّا سُلَيْمَٰنَ وَأَلْقَيْنَا عَلَىٰ كُرْسِيِّهِۦ جَسَدًا ثُمَّ أَنَابَ﴿34﴾قَالَ رَبِّ ٱغْفِرْ لِى وَهَبْ لِى مُلْكًا لَّا يَنۢبَغِى لِأَحَدٍ مِّنۢ بَعْدِىٓ إِنَّكَ أَنتَ ٱلْوَهَّابُ﴿35﴾فَسَخَّرْنَا لَهُ ٱلرِّيحَ تَجْرِى بِأَمْرِهِۦ رُخَآءً حَيْثُ أَصَابَ﴿36﴾وَٱلشَّيَٰطِينَ كُلَّ بَنَّآءٍ وَغَوَّاصٍ﴿37﴾وَءَاخَرِينَ مُقَرَّنِينَ فِى ٱلْأَصْفَادِ﴿38﴾هَٰذَا عَطَآؤُنَا فَٱمْنُنْ أَوْ أَمْسِكْ بِغَيْرِ حِسَابٍ﴿39﴾وَإِنَّ لَهُۥ عِندَنَا لَزُلْفَىٰ وَحُسْنَ مَـَٔابٍ﴿40﴾

Les mauvaise traductions qui n’ont aucun sens logique ou factuel.

Le coran est un texte datant de 1400 ans qui est traduit avec des mots d’aujourd’hui . C’est la raison pour laquelle la traduction est difficile. Il faut revenir au mot de l’époque pour « comprendre » le texte c’est à dire le prendre dans son contexte. Trois de ces mots dans ces versets sont : le pluriel « SAAFINAAT » (suivie de eljiyaad) , le verbe « TAWWAART » (suivit de bil hijaab) et « MASHAAN » (suivit bissouk wal aanaak).
« SAAFINAAT » est traduit ci-dessus : « CHEVAUX » et « TAWWART » est traduit : « se cacher » , « MASHAAN » est traduit par « couper » alors que le sens courant d’aujourd’hui est « essuyer », « caresser« .
Même si SAAFINAAT peut signifier « l’animal cheval que l’homme monte « , le contexte de cette sourate , le palais de SALOMON, ne laisse aucun doute sur le sens de ce mot : c’est un ancien mot S+B+N retrouvé dans les épigraphies arabiques dite thamoudiennes et qui est en relation avec le « rapt des sabine » dont j’ai posté une petite esquisse dans un article précédent et dont je développerais le sujet dans les prochaine articles .
Le mot MASAHA , oindre , est en relation, par l’épigraphie protocananéen de wadi el hour , avec le mot ancien copte MSYY.T qui figure dans cette inscription : le repas du soir , c’est à dire : la copulation. Je développerais tous ces WORD/WED/MOT ulterieurement.
Reste le mot TAWWART , traduit par « se cacher« .

La langue arabe est sans contest la langue la plus riche du monde qui n’a rien à voir avec les chiffres donnés sur google france . Sur google arabe on trouve 12.302.912 mots. Chaque racine (une racine=plusieurs mots) possède un nombre effarant de signification : le dictionnaire en ligne ALMAANI donne pour le verbe MASAHA 30 entrées plus un accès aux dizaines d’autres dictionnaires que le site utilise.

Vue cette complexité ,la langue Arabe n’a pas encore développer d’étymologie qui permette de simplifier cette compléxité .

Le mot TAWWART est de même racine que le mot féminine WRA.T , le ROND de la femme , la porte de sortie de l’espèce humaine. Les rouleau de la TORAH sont enfermés dans une boite , le TABERNACLE , appelé en hebreux ARON HA EDOT , l’arche du témoignage, qui se trouvais dans une tente , le MISH-KAN, avant l’époque dite « royale » (david=aimé).

A partir de ces quelques données , on peut deviner le sens de : TAWWART BIL HIJAAB : elle est s’est déshabillé dans la tente. Je développerais plus amplement ce thème qui engage aussi une relecture de la Bible hébraïque , le TA-NAK.


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