La racine proto-indo-européene *klew signifie : entourer. Elle provient de l’ancien copte KAR/KAL qui signifie : chapelle et de W qui signifie « enrouler ». Dans les langues dites chamito-sémitique , comme l’ancien copte et l‘ancien libyque (ancêtre des langues berbères d’aujourd’hui) le R et le L sont deux sons qui ont la même signification (ce sont deux phones du même phonème) comme en français d’aujourd’hui les sons « X » , « ʁ » et « R » (en notation de alphabet phonétique international) qui sont transcrit par la même lettre latine R alors qu’elle correspondent à des lettres différentes dans d’autres langues (خ/غ/ر en Arabe par exemple). Le nom des LIBYENS voisins des anciens égyptiens sont appelés par les anciens égyptiens : RIBOU alors que leurs nom est : LIBOUS. Des dynasties libyennes ont aussi régnées en Égypte comme la 22ém dynastie à l’époque du fils de Salomon , et l’OASIS de SIWA en égypte est de langue berbère. Ceci est important parce que la main mise politico-scientifique sur la linguistique empêche de voir les liens linguistique étroits existants entre les langues berbères d’aujourd’hui et l’ancien égyptien qu’ils prétendent mort.

Le moteur de la vie est la sexualité : l’animal agit pour se nourrir et se nourrit pour se reproduire. C’est ce qui persite la vie dans la base de donnée de l’existence. Tout est ES CUL donc . Jusqu’ici rien de nouveau puis Freud en a tout dit.

Ce qui est nouveau c’est de voir ceci dans l’épigraphie et dans la construction des langues. Et en premier lieu dans un des grand texte sacré de l’humanité : la Bible (repris dans le Coran). Comme je le développerais plus tard, l’histoire d’Adam et d’Eve n’a rien a voir littéralement avec la gourmandise des pommes. C’est l’histoire de l’eveil de la conscience par la sensualité et de désir de l’autre que les institutions religieuses qui se sont imposés politiquement ont accaparée à leurs propre utilisation secréte et interdit aux fidèles (un exemple de cela en politique ici). Le désir de l’autre nécessite un langage pour attirer et avant de s’engager en profondeur de l’âme (au sens 12.) de l’autre.

Avant d’être « religieuse » , au sens commun, c’est à dire un comportement non motivé sexuellement , les cloîtres , appelé GIPARU en Sumerien, étaient des institutions reunissants des personnes pour les réjouissance (qui correspond au KOMOS populaires grecque.).